Selon les données toujours plus nombreuses sur le sujet, les consommateurs adultes de yaourt ont de meilleurs apports alimentaires, des facteurs de risques cardiométaboliques moindres et un mode de vie plus sain que ceux qui n’en consomment pas. La pléthore d’informations actuelle sur l’obésité infantile en donne la preuve : syndrome métabolique associé, risque croissant de maladie cardiovasculaire et diabète montent en flèche chez les plus jeunes. Or s’il s’agit d’une menace pour les individus, il s’agit aussi d’une charge énorme grevant les moyens réservés aux soins de santé dans de nombreux pays. Nous résumons ici les idées clés.
Une consommation fréquente de yaourt améliorerait la qualité de l’alimentation chez les enfants
Les données récentes issues d’enquêtes nationales de nombreux pays révèlent systématiquement qu’actuellement, les apports alimentaires chez les enfants et les adolescents ne contiennent pas suffisamment de nutriments essentiels comme le calcium, le potassium et la vitamine D.
Le yaourt pourrait donc constituer une solution appropriée puisqu’il est riche en nutriments et qu’il s’agit d’une source de nourriture à faible teneur énergétique qui aide à atteindre les taux requis de calcium, de potassium et de vitamine D. Le yaourt est également source de protéines de qualité.
Trop de sucre dans le yaourt ? Pas si sûr !
Beaucoup d’enfants et d’adolescents, tout comme leurs parents, dépassent la dose recommandée de sucre (qui devrait être de moins de 10 % de l’apport énergétique quotidien total selon l’Organisation mondiale de la Santé). Une idée reçue courante veut que la consommation de yaourt sucré alimente ce problème. Cependant, la consommation de yaourt maigre aux fruits contribue dans une faible mesure à l’apport de sucre chez les enfants et est même associée à une diminution de l’apport de graisses saturées. Le yaourt ne représente donc que 1-8 % de l’apport total de sucre chez les enfants et les adolescents.
Le yaourt et le profil cardiométabolique
De plus, il existe des preuves que les enfants qui mangent du yaourt présentent un facteur de risque de maladie cardiovasculaire plus faible et un risque d’être en surpoids ou obèse durant l’enfance plus bas que ceux qui n’en consomment pas. Manger du yaourt plus d’une fois par semaine est lié à une activité efficace de l’insuline, ce qui se traduit par des taux peu élevés d’insuline à jeun, une faible résistance à l’insuline et une meilleure sensibilité à l’insuline.
De nouvelles études épidémiologiques ainsi que des essais cliniques se justifient afin d’évaluer l’effet du yaourt sur la modulation du microbiote intestinal ainsi que son rôle dans la prévention de l’obésité et des maladies cardiométaboliques.
Nous espérons que cette ressource vous sera utile pour votre pratique clinique. Consultez-la !
Depuis le début des années 2000, la guerre contre le gras s’est répercutée par la multiplication des produits allégés dans les rayons des supermarchés. Les compagnies prenaient un malin plaisir à indiquer « 0% m.g. » et « sans gras trans » sur leur emballage. Cela a mené le consommateur à se soucier de plus en plus de la quantité de gras qu’il consomme. Or, de nouvelles recherches semblent montrer que les gras provenant des produits laitiers, dont le gras du yogourt, n’auraient pas les mêmes impacts sur la santé, au contraire!
Les gras : pas dans mon assiette!
On retrouve quatre types de lipides (gras) dans l’alimentation. Tout d’abord, les gras monoinsaturés et polyinsaturés, qu’on appelle souvent les « bons » gras, se retrouvent dans les huiles d’origine végétales, les noix, les graines, les poissons et dans certains fruits comme l’avocat. La science les valorise beaucoup. Les aliments qui en contiennent font partie de plusieurs types d’alimentation associés à une meilleure santé en général, comme l’alimentation méditerranéenne. Au banc des accusés, on retrouve toutefois les gras trans et les gras saturés. On les retrouve surtout dans les produits transformés, les viandes rouges, les charcuteries et même dans les produits laitiers.
On s’étonne des résultats!
Or, l’effet de la consommation de produits laitiers sur la santé se situe dans une zone grise. Par contre, lorsqu’on s’intéresse plus particulièrement aux différents types de produits laitiers comme le fromage, le yogourt, le kéfir, on s’étonne des résultats! En effet, on remarque que ces produits, bien qu’ils contiennent des gras saturés, ne procureraient pas un risque pour la santé plus élevé. Pourquoi ? Les chercheurs avancent plusieurs hypothèses dont la matrice particulière de ces aliments. On retrouve, dans le yogourt, plusieurs composés intéressants tels que le calcium, les bactéries (les fameux probiotiques!), les protéines qui promeuvent la satiété, les peptides bioactifs qui sont dérivés de la caséine (la protéine du lait) ainsi que des gras laitiers connus tels que l’acide trans-palmitoléique.
Le saviez-vous?
Des chercheurs de l’Université Harvard ont montré que l’acide trans-palmitoléique, une matière grasse qu’on retrouve dans les produits laitiers, était associée avec une réduction pouvant aller jusqu’à 60% du risque de développer le diabète de type 2 chez ceux qui consommaient une diète riche en cette matière grasse versus ceux qui n’en consommaient que très faiblement.
Donc le gras du yaourt peut avoir un effet bénéfique sur la santé, mais quel yogourt choisir?
Depuis environ cinq ans, les produits ne cessent d’apparaître dans la section des yogourts. On retrouve désormais le populaire yogourt grec riche en protéines aux côtés de yogourt sans gras sucrés au sucralose (ie édulcorants). Devant une telle offre, le consommateur peut se perdre facilement. Une nouvelle étude canadienne[1] a conclu que les yogourts sans gras étaient majoritairement consommés chez les individus présentant un surpoids alors que les yogourts riches en gras (>2% m.g.) étaient consommés majoritairement chez les individus de poids normaux.
Fait intéressant, les personnes qui optaient pour les yogourts sans gras, probablement dans le but de contrôler la quantité de gras dans leur diète quotidienne, n’arrivaient même pas à consommer moins de gras au final. Il y aurait peut-être là un phénomène de déculpabilisation renvoyant à une compensation vers d’autres types d’aliments riches en gras. Les chercheurs ont également démontré que la consommation de yogourt, peu importe le pourcentage de gras, était associée avec une réduction des niveaux de triglycérides et d’insuline, améliorant ainsi la santé du cœur. Ils encouragent donc la consommation de yaourt et même la consommation de yaourt riches en gras…
Les Canadiens ne sont pas les plus grands consommateurs de yaourt à travers le monde. Voici la consommation annuelle per capita des plus grands consommateurs de yaourts !
(Consommation annuelle de yogourt à travers le monde – Source: Euromonitor 2012, AC Nielsen)
En Europe, bien qu’on retrouve de plus en plus de produits allégés, le yogourt grec régulier est riche en gras. Il peut contenir jusqu’à 10 grammes de gras par portion de 7 onces. Les matières grasses lui permettent d’avoir cette texture crémeuse et onctueuse. Ca lui permet également d’atteindre un sentiment de plénitude (satiété) bien plus vite. Le gras du yogourt contribue donc à notre satisfaction gustative!
Bref, le yogourt est un aliment polyvalent qui peut certainement être consommé comme un dessert, mais qui peut également entrer dans la composition de plusieurs recettes.
Références
[1] Cormier, H., Laliberté, A., Tremblay, A., Pérusse, L., & Vohl, M-C. Yogurt Consumption: Influence of Body Mass Index and Dietary Restraint? Cross-Sectional Analysis of the INFOGENE Study. Journal of Food, Nutrition and Dietetics, May 2016.
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Hubert Cormier se démarque sur bien des plans dans le domaine de la nutrition. De pair avec la poursuite de ses études doctorales en nutrition, Hubert est aussi conférencier, blogueur et ambassadeur de marques. En plus, Hubert démystifie et démocratise la nutrition, notamment sur des sujets comme le gras du yogourt. Il réussit en plus le pari de faire rimer alimentation équilibrée et plaisir de manger.
« Cette recette me vient d’une bonne amie. Je raffole du poulet général Tao, mais la friture irrite mon intestin et je suis souvent ballonné. Cette amie m’a convaincu d’essayer sa recette de poulet pané aux céréales de riz soufflé. Depuis ce temps, je ne jure que par cette recette et je change parfois les épices, selon mes envies. » Hubert Cormier
4 portions – Temps de préparation : 5 minutes – Temps de réfrigération pour la marinade : 2-3 heures – Temps de cuisson : 15 minutes
Ingrédients
· 250 ml (1 tasse) de yogourt grec nature
· 10 ml (2 c. à thé) de cumin
· 2 grosses poitrines de poulet (environ 300 g) en morceaux de 1 pouce (2,5 cm) d’épaisseur
· 500 ml (2 tasses) de céréales de riz soufflé (de type Rice Krispies™)
Préparation
1. Dans un bol, mélanger le yogourt, le cumin et le poulet. Couvrir d’une pellicule plastique et laisser mariner de 2 à 3 heures au réfrigérateur.
2. Préchauffer le four à 400°F (200°C)..
3. Mettre les céréales de riz soufflé dans un sac hermétique. À l’aide d’un rouleau à pâte, écraser les céréales sans en faire une poudre.
4. Déposer la panure dans une petite assiette et y rouler les morceaux de poulet, un à la fois.
5. Déposer le poulet sur une plaque de cuisson et enfourner 15 minutes ou jusqu’à ce que la panure soit bien dorée. Retourner à mi-cuisson.
Le conseil d’Hubert : Vous pouvez ajouter des pacanes ou des noix de Grenoble concassées dans la panure de riz soufflé pour obtenir une texture encore plus croustillante.
Valeurs nutritives (par portion)
Calories : 206
Lipides : 5,1 g
Gras saturés : 2,8 g
Cholestérol : 55 mg
Sodium : 236 mg
Glucides : 17 g
Fibres : 0 g
Protéines : 21 g
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Jeune et dynamique nutritionniste, Hubert Cormier se démarque sur bien des plans dans le domaine de la nutrition qui a été trop longtemps perçu comme un domaine exclusivement réservé aux femmes. De pair avec la poursuite de ses études doctorales en nutrition, Hubert est aussi conférencier, blogueur et ambassadeur de marques. En plus de démystifier et de démocratiser la nutrition, Hubert réussit le pari de faire rimer alimentation équilibrée et plaisir de manger.
Comme ils comprennent totalement les données scientifiques sur le sujet, les professionnels de la santé peuvent jouer un rôle important en dissipant les croyances collant aux produits laitiers. Bien que leurs bienfaits sur la santé osseuse soient reconnus, certaines personnes adoptent une alimentation sans produits laitiers parce qu’elles croient que ceux-ci peuvent être mauvais pour la santé, par exemple dans la gestion du poids ou l’intolérance au lactose. Ce commentaire du Belgian Bone Club et de la European Society for Clinical and Economic Aspects of Osteoporosis, Osteoarthritis and Musculoskeletal Diseases se concentre sur les résultats disponibles les plus solides et se base autant que faire se peut sur les publications les plus récentes.
Les produits laitiers, une source de nutriments essentiels
Les produits laitiers, qui font partie des recommandations nutritionnelles officielles de nombreux pays du monde, apportent une foule de nutriments essentiels difficiles à obtenir dans des régimes alimentaires limitant ou excluant les produits laitiers, comme les régimes végétaliens ou sans lait. En plus d’apporter du calcium à un taux d’absorption et une disponibilité élevés, les produits laitiers fournissent plus de calcium, de protéines, de magnésium, de potassium, de zinc et de phosphore par calorie que n’importe quel autre type d’aliment typique de l’alimentation d’un adulte, notent les auteurs. Le rapport souligne qu’une alimentation sans produits laitiers risque d’engendrer une carence en nutriments comme le calcium, le potassium et le magnésium.
Jusqu’à trois portions de produits laitiers par jour
Serge Rozenberg et al. avancent qu’il pourrait y avoir un lien ténu entre la consommation de produits laitiers et une faible perte de poids, à savoir une réduction de la masse graisseuse et du tour de taille ainsi qu’une augmentation de la masse corporelle maigre. Ils font remarquer que tant le yaourt que les fromages à pâte dure sont bien tolérés, de sorte que les personnes intolérantes au lactose ne doivent pas totalement éliminer les produits laitiers de leur alimentation. Quant à la croyance selon laquelle ne pas manger de produits laitiers aurait un effet contre l’arthrite, il n’existe selon les auteurs aucune preuve de son effet bénéfique. Par ailleurs, les produits laitiers n’augmentent pas le risque de développer une maladie cardiovasculaire, surtout s’il s’agit d’aliments maigres. Ils concluent en signalant qu’il semble sain de consommer jusqu’à trois portions de produits laitiers par jour et que cela pourrait influer favorablement sur la santé osseuse. Pour en savoir plus, lisez l’article original.
Évaluation des effets du yaourt sur la santé des enfants américains
La NHANES est une enquête de grande ampleur unique en son genre qui évalue l’état sanitaire et alimentaire des adultes et des enfants américains sur la base d’entretiens et d’examens physiques. Les chercheurs s’en sont servi pour étudier un large échantillon de 5 124 enfants âgés de 2 à 18 ans sur une période de 3 ans. Ils se sont intéressés à deux indicateurs : la qualité de l’alimentation et le profil métabolique. La qualité de l’alimentation était évaluée à l’aide du Healthy Eating Index 2005 (HEI-2005), un outil de référence créé par le ministère américain de l’agriculture qui juge la conformité d’un régime alimentaire aux recommandations alimentaires fédérales. En ce qui concerne le profil métabolique, ils ont pris en compte différents indicateurs, dont le taux d’insuline à jeun, la sensibilité à l’insuline, le poids, le taux de glucose à jeun et la pression sanguine.
Un taux d’insuline à jeun et une résistance à l’insuline faibles
L’étude révèle que les enfants qui mangent régulièrement du yaourt (au moins une fois par semaine) ont une alimentation de meilleure qualité, comme l’indique le score élevé du HEI-2005. Les consommateurs réguliers de yaourt présentaient également un meilleur profil métabolique, à savoir un taux d’insuline à jeun bas, une faible résistance à l’insuline et une bonne sensibilité à l’insuline. Les auteurs n’ont pas trouvé de lien entre la consommation de yaourt et le poids corporel ou la pression sanguine dans cette étude, mais cela devra faire l’objet de plus amples recherches.
Pour en savoir plus sur les effets du yaourt sur la santé, lisez l’article original.
Source : Zhu Y et al. European Journal of Nutrition, June 2015, Volume 54, Issue 4, pp 543-550. DOI 10.1007/s00394-014-0735-7
Some data suggest a beneficial effect of dairy consumption on the risk of childhood obesity, but the long-term association is unclear. This systematic review, based on prospective cohort studies, confirms the inverse association between dairy consumption and the risk of overweight/obesity in children and adolescents.
More than 46.000 children and adolescents
Obesity in childhood and adolescence has become a major health disorder, and identifying modifiable risk factors, such as food habits, with strong consistency is necessary. For their purpose, Lu et al. identified eligible studies by extensive research, using the two main resources (PubMed and EMBASE) through March 2015. They completed the selection via Google Scholar and references from relevant articles. This lead to a particularly large sample of 46 011 children and adolescents from ten studies. The average period of follow-up was 3 years.
Less childhood obesity for each serving of dairy
The results show that dairy consumption is inversely associated with the likelihood of being overweight or obese: children in the highest intake group for dairy consumption were 38% less likely to have overweight/obesity, as compared with those from the lowest group of dairy consumption. The authors calculated that for each serving/day increment in dairy consumption, the percentage of body fat was reduced by 0.65%. In the same way, the risk of overweight/obesity was 13% lower for each increment of dairy serving. This clearly suggests an inverse association between dairy products and overweight/obesity, and the authors emphasis the need to examine the type of dairy in further studies.
· 500 ml (2 tasses) de yaourt vanille à la grecque
· 250 ml (1 tasse) de lait
· 250 ml (1 tasse) de crème à fouetter (35 % de matières grasses)
· 60 ml (¼ de tasse) + 30 ml (2 cuillères à soupe) de sucre cristallisé
· 30 ml (2 cuillères à soupe) de jus de citron
· 4 fruits de la passion
· 1 piment jalapeño haché
Préparation
1. Versez la gélatine dans l’eau froide et laissez agir 15 minutes.
2. Dans un grand saladier, mélangez le yaourt avec la moitié du lait et de la crème.
3. Dans une petite casserole, portez le reste du lait et de la crème à ébullition et ajoutez 60 ml (¼ de tasse) de sucre ainsi que le piment jalapeño.
4. Retirez du feu et enlevez le piment.
5. Mélangez la gélatine jusqu’à ce qu’elle soit parfaitement dissoute. Battez au fouet.
6. Versez le tout dans le saladier avec le yaourt et mélangez.
7. Ajoutez le jus de citron.
8. Répartissez le mélange dans 4 verres et laissez reposer au frigo pendant minimum 2 heures.
9. Prélevez la pulpe des fruits de la passion et faites-la chauffer dans un poêlon antiadhésif à feu moyen. Ajoutez le reste du sucre tout en continuant à mélanger.
10. Garnissez les panna cotta avec le sirop de fruits de la passion.
· 680 grammes de poitrine de poulet sans la peau, coupée en lanières de 5 centimètres
· 1/4 de cuillère à café de sel kasher
· 1 cuillère à soupe d’huile d’olive
· 1 gros oignon émincé
· 2 gousses d’ail émincées (ou ¼ de cuillère à café d’ail en poudre)
· 1 cuillère à café de curcuma
· 1 cuillère à café de gingembre frais émincé
· 3 cuillères à soupe de curry en poudre
· 1 tête de chou-fleur divisée en fleurons
· 420 grammes de pois chiches en boîte non salés rincés et égouttés
· 850 grammes de tomates coupées en dés non salées
· 1 tasse de yaourt nature maigre
· 2 cuillères à soupe de coriandre hachée (garniture)
Instructions
1. Salez le poulet. Dans une grande poêle, faites chauffer l’huile à feu moyen à vif.
2. Ajoutez le poulet et cuisez-le en remuant pendant 3 à 4 minutes jusqu’à ce que le poulet commence à dorer.
3. Réservez le poulet sur une assiette. Faites cuire l’oignon pendant 3 à 4 minutes jusqu’à ce qu’il commence à devenir tendre et translucide.
4. Ajoutez l’ail, le curcuma, le gingembre, le curry en poudre et remuez pendant 1 à 2 minutes jusqu’à ce que le mélange embaume.
5. Ajoutez le chou-fleur, les pois chiches et les tomates en dés (avec le liquide). Baissez le feu et laissez frémir.
6. Couvrez et laissez mijoter 8 à 10 minutes jusqu’à ce que le chou-fleur soit tendre.
7. Retirez le couvercle et remettez le poulet dans la poêle en remuant de temps en temps pendant 10 à 15 minutes jusqu’à ce que le poulet soit bien cuit, mais tendre, et que le liquide s’épaississe.
8. Retirez du feu. Versez le yaourt et mélangez.
9. Assaisonnez avec une pincée de sel kasher si l’envie vous en dit et garnissez éventuellement de coriandre.
10. Servez immédiatement avec du riz basmati complet.
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